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Ça prend un village

pour elever une ferme!

C'est pour cela que nous vous demandons de contribuer à notre campagne de sociofinacement !

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Apprenez-en plus ci-dessous :

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Qui je suis et pourquoi je cultive

Moi, c’est David ! Je suis le fondateur, propriétaire, et gérant des Jardins de la Marmotte.

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Je cultive dans les Cantons de l’Est, une belle région avec une très longue histoire agricole. Dans les Cantons, comme ailleurs au Québec, nous sommes très fiers de nos aliments locaux et de plus en plus conscientisés par rapport à l’importance des aliments bio et écologiques. La santé de nos corps et de nos écosystèmes, ça n’a pas de prix !

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Et pourtant, ce n’est que 30% des aliments biologiques que nous consommons au Québec qui sont produits ici. Pas moins de 70% des aliments bios vendus dans la Belle Province sont importés d’aussi loin que la Californie, le Mexique, et l’Amérique du sud. Il y a un manque à combler si on veut être capable de mangé santé ET local en même temps !

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Qui plus est, les défis poses par les changements climatiques et la crise sanitaire mondiale qu’est le Covid-19 démontrent que nous avons plus besoin que jamais d’un système alimentaire véritablement local et résilient, capable de répondre aux échecs et défaillances du système alimentaire globalisé actuellement en place.

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C’est pour cela que je démarre les Jardins de la Marmotte, une ferme maraîchère écologique sur petite surface qui répondra à la demande toujours à la hausse pour les aliments locaux et écologique dans les communautés de Bromont et du quartier Mile End de Montréal.

 

Ça prend des agriculteurs pour changer notre système alimentaire !

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Les Jardins de la Marmotte

Je choisi de dédier la prochaine décennie de ma vie à l’amélioration et à la protection de la petite parcelle de terre que j’appellerai les Jardins de la Marmotte.

 

Aux Jardins, je vais réinstaurer la vie microbienne et accroître la fertilité du sol à l’aide d’intrants écologiques tels le compost, le fumier, et la farine de luzerne ainsi qu’à l’aide d’une diversité d’engrais verts et cultures de couverture. Je nourrirai le sol afin que mes cultures de légumes puissent nous nourrir à leur tour.

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Je vendrai les produits de la ferme à deux kisoques de ferme, un sur le site de production et l’autre à Montréal, ainsi qu’en formule de panniers de légumes hebdomadaires.

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Au fil des ans, je peaufinerai constamment mes techniques de production afin de bâtir un sol vivant capable de séquestrer le carbone et de supporter mes cultures au travers des périodes de sécheresses et des précipitations intense qui deviendront typique de notre région dans l’ère des changements climatiques. En consultation avec d’autres agriculteurs québécois et en lisant toutes les dernières recherches agricoles, je chercherai à développer des systèmes qui garantiront la disponibilité d’aliments locaux dans toutes les conditions météorologiques et sur la plus longue période possible chaque année.

 

J’espère aussi travailler avec des semenciers locaux afin de développer des cultivars de légumes de plus en plus adapté aux conditions de notre biorégion.

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Les défis à surmonter

Produire des légumes au Québec sur une bonne période de l’année pose beaucoup de défis. Notre saison de croissance, même dans le sud de la province, compte autour de 120 à 140 jours sans gel en moyenne. Cela fait en sorte qu’il est difficile de compétitionner l’abondance de légumes importés de pays ayant des climats plus cléments, voir tropicaux.

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En plus, les changements climatiques présentent tout un nouveau défi pour les producteurs d’ici. En 2020, nous avons vécu deux canicules avant même le solstice de l’été ainsi qu’un gel tardif le 1er juin. Il est difficile d’avoir des récoltes stables dans ces conditions extrêmes.

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Pour faire face au double défi d’un climat à la fois froid et en changement, j’aurai besoin d’acquérir des infrastructures importantes au Jardins de la Marmotte. C’est pour cela que j’aurai besoin de votre aide !

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Comment vous pouvez aider 

Je fais appel à votre générosité afin de bien financer le démarrage des Jardins !

La réussite de ma production maraîchère nécessitera

des investissements importants en infrastructure, notamment :

UNE SERRE PÉPINIÈRE CHAUFFÉE qui me permettra de démarrer la saison agricole le plus tôt possible. En démarrant des plants de légumes dans la serre pépinière au début mars, j’aurai des cultures à transplanter dans le champs dès la fonte des neiges, ce qui assurera des récoltes aussi tôt dans la saison que la fin mai. C’est comme ça que je pourrai combler la demande pour les légumes écolo d’ici sur la plus longue période possible.

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DES TUNNELS CHENILLE pour prolonger la saison de croissance au printemps et à l’automne. Ces structures amovibles comprennent une toile de polyéthylène posée sur des arches en acier galvanisées. Les tunnels protègent contre les gel tardif au printemps et hâtifs à l’automne et créent un microclimat favorable tout le longue de l’été, pour assurer des récoltes plus abondantes et sur une plus longue période. Vous pouvez voir une photo d’un de ces tunnels ci-dessous.

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UN SYSTÈME D’IRRIGATION ROBUSTE, avec des options gicleurs et goutte-à-goutte (drip tape). L’irrigation est de rigueur pour assurer une levée rapide et uniforme des cultures qui sont semée directement dans le champ. De plus, l’irrigation assure la bonne croissance des cultures meme en période de sécheresse et de canicule. Je suis chanceux d’avoir accès à un très grand étang d’irrigation sur mon site de production, ce qui facilitera une irrigation optimal des cultures— si j’aurai bien les sous pour investir comme il faut en équipements d’irrigation.

Le cycle de générosité

Depuis 5 ans, je travaille sur 5 différentes fermes maraichères au sud du Québec afin de maîtriser les fondements du maraîchage bio dans notre climat.  

 

Malheureusement, la réalité économique de l’agriculture a fait en sorte que j’ai toujours été rémunéré à un taux horaire près du salaire minimum. Je me trouve alors dans la situation de plusieurs aspirants agriculteurs, de ne pas avoir pu économiser tous les fonds nécessaire au démarrage d’une ferme.

C’est pour cela que je fais appel à votre aide.

 

Je vous prie de donner à cette campagne de sociofinancement afin de m’aider à investir dans ces équipements de production essentiels.

 

Cela me permettra de réinvestir à mon tour dans la santé de mes communautés et de mes écosystèmes.

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Les abonnements à la Carte marmotte sont lancés ! Abonnez-vous tout de suite par ici !

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